L'œuvre développé par Andrea Nacciarriti durant sa résidence à Dar Toubkal et au Kasbah du Toubkal dans le village d'Imlil (Marrakech, Maroc), pour le projet d'Atla(s)now, a été basé sur le concept de la fossilisation de l'identité Amazigh. Pour cette raison il a produit des oeuvres qui créent idéalement les conditions pour la résistance des gens de cette montagne qui ont une culture basée largement sur la tradition orale qui est islamisée et menacée.[ Ã suivre ]
L'artiste focalise ses activités sur ses indépendances comme Amazighs, en impliquant la communauté elle même afin de jouer un rôle actif dans ce processus. Pour cette raison il a choisi l'étymologie originale du terme Amazigh "Imazighen", qui signifie l'homme libre.
L'idée d'introduire le concept de "fossilisation" à la communauté a commencé par l'activité urbaine pendant laquelle Nacciarriti a aidé la communauté a remplacé certaines écritures et graffiti des murs et pierres dans le centre du village qui est visité fréquemment par les touristes.
Cette action a impliqué un nombre croissant des gens de différents ages qui sont venus à son aide. Le but était de montrer notre proximité et solidarité envers ses gens sur le problème de graffiti, comme un résultat du tourisme intense qui inclut souvent des gens défigurent des pierres et des murs dans leur passage pour prendre la route randonnée vers le sommet de Toubkal.
Autres projets ont étaient suivis et qui font partie de l'œuvre qui le considère comme son production artistique pour Atla(s)now.
Comme premier travail, Andrea Nacciaritti a demandé les filles de l'association Education for all au village d'Asni à écrire des histoires et lettres en relation avec leur identité Amazigh. Dans ce projet il a voulu insister sur la responsabilité personnelle de préservation de la mémoire, dans une place où les filles venant des villages rurales au Haut Atlas et où elles sont offertes l'opportunité de poursuivre leur éducation après l'éducation primaire.
Les lettres de ce "cocoon" sont devenues des cadeaux décernés par l'artiste à quelques hommes du village d'Imlil, qui sont assignés à les préserver, quelle que soit la manière dont ils vont préserver ces lettres. Nacciarriti a demandé à ces gens de le tenir au courant par le parvenir par une documentation comme une preuve de la cristallisation de leur identité.
Quelques traces visibles de ses lettres préservées sont maintenant exposées au boutiques, maisons privées, et restaurants alors que les autres qui se sont apportées quelque part à la région par les guides de la montagne, ont resté à la merci du temps ou d'un passager chanceux.
La production de Nacciarriti a permit aux activités d'Atla(s)now d'être répandues et intégrées dans la vie réelle de cette région, impliquant dans ses activités l'enthousiasme des gens et des associations qui travaillent toujours sur le développement de leur Dour environnant.
Finalement, ce processus a produit la base de la performance finale d'Andrea Nacciarriti pour laquelle un travail de vidéo a été fait comme son témoignage. La performance a été crée avec touts les membres de l'association Tiwizi et son président Hassan Edderjoune. La vidéo va être exposée durant Marrakech Biennale dans les espaces de l'association de Tiwizi qui opère dans le village d'Asni.
Un hymne national a été crée par l'artiste avec les adultes, les jeunes et les enfants de l'association après une sorte de débitage des chansons Amazigh, il est donc idéalement devenu un hymne national Amazigh, cela a mené vers un atelier des enfants d'école d'Imlil. Pendant l'atelier l'artiste regroupe les enfants ensemble on les emmènent à reproduire l'Alphabet Amazigh. La collaboration avec l'association Twizi était particulièrement intense comme leur but commun était la création d'une chose profondément liée à l'identité Amazigh de la région, puisque l'association se concentre sur l'amélioration des moyens d'existence de la population locale à travers une approche plus jointe, d'ici le sens du mot Amazigh Tiwizi est sur la solidarité, le travail volontaire, et les efforts collectifs.
Le hymne a été chanté et joué avec la même cérémonie d'une équipe nationale à la Coupe des Monde. Le match de foot a été joué au terrain de foot de l'association Twizi. Sur ce terrain le symbole de la culture Amazigh a été dessiné en utilisant la craie. Durant le match de 60 minute, caractérisé par des acclamations et chants, les 14 joueurs ont effacés partiellement le symbole blanc et ont le brouillé par la poussière doré qui monte au ciel.
(Texte par Alessandro Facente)