L'histoire des montagnes, la neige et la glace de l'Afrique caractérisent le travail d'Angelo Bellobono d'une façon quadridimensionnelle. Une histoire, plus que toute autre histoire, qui met la lumière sur les aspects les plus visionnaires et inhabituels de ses œuvres comme artiste ainsi que sur sa vie privée. Une mixture déconcertante qui mélange sa nature de comme peintre et instructeur de ski afin de développer ce qui peut être son plus ambitieux projet, qui est d'établir un nouvel concept de l'être humain, les places et les frontières, ainsi que construire des codes et des cadres de communication pour lier, profitablement et humainement, à la place et sa communauté, entrelacer la vie et les compétences professionnelles sous un seul titre: Atla(s)now.[ Ã suivre ]
Atla(s)now qui est conçu à l'origine avec des telles perspectives, est un projet présent à travers les voix et le travail des centaines de personnes qui contribuent à répandre le projet à travers le territoire, mais avant de l'écoutaient, il faut qu'on commence par ses œuvres qui frayent la voie pour l'institution du premier musé dont la construction est le résultat d'une dure analyse, réflexion, critique et réorganisation de son propre pratique artistique et de la substance de ses actions.
Donc la même question se pose encore une fois – la peur? – que l'œuvre n'aura pas une place pour s'installer, ou si il a une, il sera probablement supprimé, détruit ou perdu, malgré les accords conclus précédemment. Sa double identité comme artiste est instructeur de ski à certainement fourni une relation d'approche sage, fonctionnelle et objective, qui ont donné à ses relations une longue durée. Ce qui a permis à son travail de prendre les racines facilement dans la sensibilité conservative des gens impliqués dans le projet. La résistance est donc un terme qui reflète, trois ans après le premier établissement dans le village d'Imlil (Marrakech, Maroc), la longue extension de ses œuvres qui sont toujours présent dès qu'ils étaient imaginés pour la première fois.
La peinture, grâce à son esprit ancien et contemporain, immédiat, complexe, concrète et visionnaire, était un moyen facilement compris et qui a donc contribué à la cristallisation de ce genre. Un moyen qui est exprimé dans la recherche de l'artiste à travers des telles qualités qui étaient très fortes pour construire des ponts, contenus, et relations avec la communauté, qui est aussi le pivot de tout le projet.
Ainsi, l'impression que Toubkal, le plus haut sommet dans la région, a laissée sur Angello Bellobono était la première pierre de son architecture de fortes relations.
En utilisant les feuilles recyclées, l'artiste a crée son œuvre pour capturer à travers la peinture ces montagnes, leurs creux escarpés, la plénitude et les veines de sa chair rocheuse, les mêmes qui couvrent métaphoriquement les identités internes des villageois qui montent la montagne pour apporter la nourriture pour des plusieurs hameaux à la montée.
A partir du stimulus visuel d'un tel scénario expérimenté quotidiennement par la communauté, l'artiste dessine sur son propre stimulus comme un instructeur de ski comme il monte plusieurs montagnes, et qui est aujourd'hui résumé comme un artiste dans ce stimulus.
Une affaire avec lui-même, mais qui a fait en quelque sorte un accord avec leur intériorité, à travers ce filtre rocheux sur lequel ils sont reflétés. Ces larges feuilles font partie d'une petite production afin de trouver l'intimité dans la surface en bois des petits tableaux anciens de noyers utilisé dans la culture Amazigh pour enregistrer les accords. Avec l'aide du menuisier locale, l'artiste lance une grande production des tableaux sur lesquels il a gravé une série de portraits des gens concernés par le projet. Peintes devant leur présence, comme l'élaboration d'un accord, à la présence des deux parties, et qui sont offerts par la fin comme un symbole de cette collaboration donnant voix à un autre, mais d'un type plutôt humain.
Avec des gens, comme Ali le muletier, le moment ou il a reçu le portrait a marqué les plus profondes cordes dans une intensité touchante comme il a était étonné après son premier portrait sur ce petit support. Les portraits sont maintenant dans leurs maisons. Après plusieurs années ils sont toujours là ou Ali, le muletier a décidé d'installer son propre portrait. Le sentiment intérieur et privé du paysage résultant de son approche vers les adultes du village a trouvé dans l'implication des enfants locales un appel relationnel avec une vision plus éducative. De ce fait, l'atelier de peinture a été crée, par inviter les enfants à dessiné sans instructions ou limites sur les pierres collectés à travers le village.
Chaque jour les enfants retournent à Dar Toubkal, afin de compléter ce qui ont laissé la journée précédente. L'usage des brosses et des couleurs était une nouvelle expérience pour eux. Enjoué et en même temps éducative, chose qui a familiarisé ces enfants avec les pierres, ce qui forme la plus grande pierre de neige qui se démarque chaque jour devant eux. La partie la plus importante était quand les filles étaient renvoyées par les garçons au début mais elles sont graduellement acceptées et impliqués dans le jeu. Ces pierres font partie maintenant d'une installation collective qu'on peut admirer à l'entrée de Dar Toubkal, le centre de résidence artistique, marquant l'ascension pour la monture.
Dans une telle logique combinée de peinture, glace, skis, identité et activité intense, le travail sur le Djellaba à donné voie pour ce travail de recherche et de laboratoire mélangé, fusionné et pictural. Le Djellaba initialement porté par eux en faisant le ski avec les guides de montagne et les instructeurs durant les leçons à Oukaimeden. Ils ont embrassé les éléments picturales abstracts sur des objets de plastique recyclés et des blocs transparents ou l'identité est glacé mais en même temps imprégné par l'environnant entouré. Le "voyage de djellabas" est un travail profondément lié à l'identité de leurs traditions nationales. Une robe extérieure chaude portée par les hommes locaux, mais similaire à la robe portée par les femmes et qui ressemble en même temps à la tunique franciscaine. Une combinaison des formes et des symboles qui représente la complexité des ponts culturels invisible entre l'Occident et l'Afrique, homme et femmes, et qui se manifeste dans les œuvres résultant de la recherche des artistes. L'une de ses œuvres était inclus dans une installation pour Marrakech Biennale 2012; une autre œuvre, cloître suspendu, est devenu un symbole reconnu du musée répandu. Installer dans une place en plein air au Kasbah du Toubkal, la place ruinée a été nettoyée de touts les articles entassés pour des années, et elle est devenue aujourd'hui un avenue d'une nouvelle direction, ou un œuvre, qui est en risque aujourd'hui, l'entoure avec un sentiment émotionnel profond.
(Texte par Alessandro Facente, 2014)
September 2017
Angelo Bellobono, in his double role as project coordinator and artist, has worked on the contemporary reworking of the old technique of engraving and rock painting, by realizing numerous engravings and stone paintings inspired by the mountain landscape, stylistic key to his work, one of his drawing turned into a carpet, as a tribute to the various hiking made during the residence.
Bellobono, has built an environmental sculpture by using a branch and an old pair of kids skis planted in the ground, the work entirely painted in white, will become mimetic in the snow during the winter.
An entire day was devoted to visit and check all the installation and artworks and made in the previous years, to raise awareness of the importance of the Museum for the local population. In the near future, Atla(s)now want to realize a book which included a detailed map of the places and works and a documentary that will capture the seven years of this marvelous experience.